document.addEventListener("DOMContentLoaded", function(event) { var classname = document.getElementsByClassName("atc"); for (var i = 0; i

Comprendre la Neutralité du Net

Comprendre la Neutralité du Net

La neutralité du Net est un pilier essentiel de la liberté sur Internet. C’est un sujet régulièrement débattu par les gouvernements du monde entier, mais trop souvent négligé dans le discours public. En 2017, la question a atteint son apogée médiatique quand la Federal Communications Commission (FCC) des États-Unis a voté pour la fin de la neutralité du Net, une décision qui est devenue effective en 2018. Cette évolution, préoccupante pour beaucoup, a révélé les failles de la protection de ce principe, déjà sérieusement ébranlé depuis 2014. En conséquence, un nombre croissant d’Américains se sont tournés vers des solutions de contournement, comme les VPN sans log. Cet article explore les enjeux, les implications et l’avenir incertain de la neutralité du Net dans le monde.

La neutralité du Net : Un véritable fondement bien plus qu’une idéologie

La neutralité du Net est le principe selon lequel aucune discrimination concernant les flux de données Internet ne peut être pratiquée. Les fournisseurs d’accès à Internet ont pour devoir de traiter de manière égale tout le trafic des internautes. On parle aussi de neutralité des réseaux ou d’Internet ouvert.

C’est la neutralité du Net qui garantit aux utilisateurs un accès libre aux sites de leur choix sans surfacturation de la part des FAI. Grâce à elle, les fournisseurs d’accès Internet ne peuvent pas bloquer, ralentir ou faire payer intentionnellement un contenu en ligne spécifique. Sans ce principe, les FAI pourraient donner la priorité à certains types de services en ligne ou ralentir, voir bloquer le trafic d’autres.

Petite mise au point

La neutralité du Net, n’est pas la garantie du Grand N’importe Quoi non plus. En effet, ce principe ne bloque pas toutes les capacités des FAI à agir quand certains sites posent problème. L’exclusion, ou encore le bannissement de sites reconnus comme dangereux pour la sécurité des personnes ou diffusant du contenu inapproprié ou illégal n’entre pas dans le cadre de la Neutralité du Net.
Veuillez noter que les fournisseurs d’accès à Internet n’ont pas le pouvoir d’influencer un résultat de recherche.

Illustration : Qu'est-ce que la neutralité du net ?

Quel est le problème avec la neutralité du net ?

Les défenseurs de la Neutralité du Net sont nombreux, experts en informatique, militants, associations de consommateurs, organisations de défense des droits de l’homme… Tous, affirment que la neutralité du Net contribue à assurer la liberté d’échange d’informations ainsi qu’à promouvoir et stimuler l’innovation pour des nouveaux services en ligne. Si ce principe est si positif et apporte autant de valeur ajoutée à Internet, pourquoi le remettre en cause ?

Les opposants estiment que les exigences d’un tel principe augmentent considérablement les coûts pour maintenir un réseau de télécommunications performant, capable de traiter des flux de données toujours plus importants.

Certains opérateurs de différents pays se sont plaints que le trafic provenant de YouTube et d’autres sites appartenant à Google représentait une très grosse partie de leur flux total. Afin de réduire les coûts de surcharge, d’assurer la maintenance ainsi que le développement, Google verse parfois des indemnités compensatoires aux opérateurs dont le réseau est surchargé. Ce type d’accord est à la discrétion des opérateurs et des gros pourvoyeurs de contenu Internet.

En réalité, la neutralité du Net a commencé à être sévèrement remise en question partout dans le monde avec l’arrivée et le succès massif des plate-formes de streaming avec la crainte de voir arriver des tarifs d’abonnements Internet cloisonnés pour chaque type d’utilisation, réseaux sociaux, vidéos, jeux, etc…

Quelles mesures ont été suggérées pour pallier les problèmes de la neutralité du net ?

La question des coûts de maintenance du réseau dans le cadre de la neutralité du net est complexe et il n’y a pas de solution universelle. On parlera plutôt de pistes de réflexion. Elles proviennent essentiellement de divers rapports de recherche, de débats académiques et de débats publics sur la question de la neutralité du net.

Modernisation de l’infrastructure réseau

Investir dans des technologies plus récentes et plus efficaces peut aider à gérer l’augmentation du trafic réseau sans compromettre la neutralité du net. Cela peut inclure le déploiement de réseaux de fibre optique à haut débit ou l’adoption de technologies comme la 5G.
C’est déjà le cas un peu partout dans le monde. En-dehors du fait que cela n’a rien changé, car l’augmentation du nombre d’internautes connectés en permanence a explosé dans le monde, la 5G, malgré ses avantages significatifs en termes de vitesse et de capacité de réseau, pose des problèmes de sécurité, notamment des normes de sécurité non-uniformes et des problèmes de confidentialité des données.

Gestion du trafic réseau

Certaines formes de gestion du trafic peuvent être compatibles avec la neutralité du net, à condition qu’elles ne favorisent pas indûment certains types de trafic ou certains fournisseurs de contenu. Par exemple, il a été évoqué que pendant les périodes de forte demande, il pourrait être acceptable de ralentir certaines activités à faible priorité, comme les téléchargements en arrière-plan, pour garantir un accès équitable à tous les utilisateurs. Cette piste de réflexion a été très vite écartée, car la limite avec une potentielle fin de la neutralité du net était ténue.

Financement public ou partenariats public-privé

Dans certains cas, les gouvernements peuvent choisir de financer directement l’infrastructure réseau ou de former des partenariats avec des entreprises privées pour partager les coûts.

Tarification basée sur l’utilisation

Une autre approche pourrait consister à facturer les utilisateurs en fonction de la quantité de données qu’ils consomment. Cela pourrait inciter les gens à utiliser les ressources réseau de manière plus efficiente, bien que cette approche puisse soulever des questions d’équité et d’accessibilité. Cela reviendrait à revenir en 30 ans en arrière quand Internet se facturait à la minute.

La Neutralité du Net en France

Logo A.R.C.E.P
En France, c’est l’Arcep qui est garante de la Neutralité du Net. L’Arcep, c’est l’Autorité de Régulation des Communications Électroniques et des Postes. Il s’agit d’un organisme indépendant chargé de la régulation des télécommunications en France. Elle est assez respectée et se réserve le droit de sanctionner des opérateurs qui ne respecteraient pas les règles en matière de neutralité.

Illustration : danger de la non neutralite du net pour la culture

Illustration tirée du blog Brisebouille – Ce travail a été réalisé dans le cadre de la publication d’un rapport de l’Arcep sur la neutralité du net. (page 73, 74 et 75)

Pour conclure

La Neutralité du Net est un élément essentiel à la dynamique d’innovation d’Internet telle que nous l’avons toujours connue. Il ne faut cependant pas amalgamer la Neutralité avec les différentes options d’abonnement Internet proposées par les opérateurs. En effet, en fonction des besoins des utilisateurs, différentes offres sont disponibles, vitesses, forfait mobile intégré …. D’aucuns diraient que c’est un moyen détourné de financer les infrastructures nécessaires pour satisfaire les très gros consommateurs de bande passante et donc de contourner le principe de Neutralité du Net.

En réalité, dès l’instant où l’accessibilité à l’ensemble du réseau est assurée de manière équitable et sans aucune forme de discrimination, protocole, IP, vitesse de chargement pour certains sites ou encore la mise en avant de réseaux privés, le principe fondateur neutre d’Internet est respecté.

Serveurs VPN virtuels : avantages et inconvénients

Serveurs VPN virtuels : avantages et inconvénients

C’est une erreur de penser que tous les serveurs VPN se valent. En effet, en dehors de la quantité de serveurs disponibles, la configuration, les protocoles pris en charge, c’est la localisation de ces serveurs qui va grandement influencer la performance et l’expérience d’utilisateur de VPN. Contrairement à leurs homologues physiques, les serveurs VPN virtuels utilisent une adresse IP qui est enregistrée dans un pays différent de leur emplacement réel. Cela offre des possibilités intéressantes, mais pose aussi des défis en matière de performance et d’accessibilité.

Examinons le principe de serveurs VPN virtuels, leurs avantages et leur impact possible sur vos données personnelles de navigation.

Comprendre les serveurs VPN virtuels

Le terme Serveur VPN virtuel peut prêter à confusion. On nomme un serveur VPN virtuel, un serveur qui n’est pas situé à l’endroit indiqué par son adresse IP. On parle alors d’IP simulées.

En réalité, il est physiquement localisé dans un pays et être « virtuellement » présent dans un autre.

Tout cela repose sur des technologies d’adressage et de routage IP. Quand vous vous connectez à un serveur VPN, votre trafic internet est chiffré et envoyé à travers ce que l’on appelle un tunnel VPN vers le serveur VPN que vous avez choisi via votre application.

C’est ce serveur qui vous servira d’intermédiaire. Le site web ou le service que vous utilisez voit alors l’adresse IP du serveur VPN, pas la vôtre. De plus, il voit le serveur VPN comme étant situé à l’endroit où l’adresse IP est enregistrée. C’est ainsi qu’un serveur VPN peut être physiquement en Tchéquie, par exemple, et apparaître comme étant en France.

Illustration : Serveur VPN physique

Pourquoi utiliser des serveurs VPN virtuels ?

Les serveurs VPN virtuels permettent une plus grande flexibilité pour répondre à la demande des utilisateurs. Par exemple, les fournisseurs de VPN peuvent mettre en place des serveurs virtuels dans des pays où il est difficile, compliqué ou coûteux d’installer des serveurs physiques. En plus de ça, il faut également savoir que les serveurs VPN virtuels peuvent améliorer la performance de la connexion en acheminant le trafic via des routes optimisées.

L’utilisation de serveurs VPN virtuels n’est pas illégale ou déloyale. Elle peut même apporter des avantages en termes de performance et d’accessibilité. Cependant, elle soulève des questions de transparence.

Pour commencer, les utilisateurs doivent être informés si le serveur VPN auquel ils se connectent est un serveur virtuel et comprendre les implications potentielles en termes de confidentialité et de sécurité. Idéalement indiqué de quel pays, il s’agit en réalité.

Avantages et inconvénients des serveurs VPN virtuels

Comme pour toute technologie, l’utilisation de serveurs VPN virtuels présente des avantages et des inconvénients.

Avantages des Serveurs VPN Virtuels

Flexibilité géographique

Les serveurs VPN virtuels peuvent être configurés pour apparaître dans n’importe quel pays, offrant ainsi une plus grande flexibilité géographique pour l’utilisateur et le fournisseur de VPN. Cela peut être utile pour contourner les restrictions géographiques sur certains contenus en ligne et ça permet au fournisseur d’ajuster ses adresses IP disponibles en fonction de la demande.

Illustration : Data center avec serveur VPN virtuel

Performance

Parfois, utiliser un serveur VPN virtuel peut offrir de meilleures performances. En effet, un fournisseur de VPN peut choisir d’héberger un serveur virtuel dans un data center avec une capacité de traitement très performante.

Accessibilité

L’installation de serveurs physiques peut être difficile ou impossible dans certains pays. L’utilisation de serveurs virtuels permet d’offrir une couverture VPN dans ces régions sans avoir à installer de matériel sur place. C’est d’ailleurs ce qui a conduit de très nombreux fournisseurs de VPN a fermé leurs serveurs physiques en Inde en juillet 2022 en réponse aux nouvelles lois indiennes sur la réglementation des données.

Parmi les fournisseurs les plus connus et transparents, on peut citer ProtonVPN qui suite à ses décisions de fermer ses serveurs en Inde, a décidé d’utiliser des serveurs basés à Singapour et continuent de simuler des adresses IP indiennes.

Inconvénients des Serveurs VPN Virtuels

Confidentialité et sécurité

Certains VPN gratuits douteux simulent des emplacements dans plusieurs pays, mais en y regardant de plus prêt, les serveurs physiques sont situés dans des pays avec des lois strictes sur la surveillance. Les données des utilisateurs deviennent à risque même si l’adresse IP du serveur est enregistrée dans un pays plus respectueux de la vie privée comme la Suisse par exemple.

À découvrir : sélection de VPN gratuits 100% sans log, ni publicité avec un modèle économique connu et vérifiable.

Transparence

Et oui, car tous les fournisseurs de VPN ne communiquent pas forcément sur ce point. Ils ne sont pas tenus de le faire, mais c’est franchement apprécié quand même. Pour moi, le champion toutes catégories en matière d’IP simulées est HMA et ce n’est pas un compliment.

Et même si ça vous semble un peu pointu, dans certains cas d’utilisation, cela pourrait induire en erreur sur la véritable localisation et les lois en vigueur sur la protection des données.

Considérations légales

Utiliser un serveur VPN virtuel pour apparaître dans un pays différent peut avoir des implications légales. Les lois sur l’utilisation des VPN varient d’un pays à l’autre et il est important de rester conscient de ces distinctions.

L’avenir des serveurs VPN virtuels

En tenant compte des tendances actuelles, des développements technologiques et réglementaires, il est possible d’esquisser une idée de ce à quoi pourrait ressembler l’avenir des serveurs VPN virtuels.

Développements technologiques

L’innovation technologique continue à un rythme effréné, et les serveurs VPN virtuels n’échappent pas à cette tendance. On peut s’attendre à voir des améliorations dans la performance des serveurs VPN virtuels grâce à des avancées en matière d’infrastructures de réseau et de protocoles de transmission de données.

Par ailleurs, l’IA et le machine learning pourraient jouer un rôle plus important dans la gestion des serveurs VPN. Ces technologies pourraient aider à optimiser le routage du trafic, améliorer la qualité de la connexion et renforcer la sécurité.

Illustration : Console de commande de serveur VPN

Évolution de la réglementation

Au niveau des réglementations, l’avenir est plus incertain. La législation concernant l’utilisation des VPN et la protection des données personnelles varie énormément d’un pays à l’autre, et ces lois continuent de changer et d’évoluer.

Certains pays pourraient choisir de restreindre l’utilisation des VPN, y compris les serveurs VPN virtuels, ce qui pourrait avoir des conséquences sur l’accès à l’Internet au sens large. D’autres pays pourraient au contraire renforcer leurs lois sur la protection des données, ce qui pourrait encourager une utilisation accrue des VPN et crée ainsi une forte demande.

La demande pour un accès Internet sûr, privé et sans restrictions continue de croître. À mesure que cette demande augmente, il est probable que l’utilisation des serveurs VPN virtuels continuera à se développer massivement.

Conclusion

Les serveurs VPN virtuels jouent un rôle significatif dans ce domaine des VPN, offrant une plus grande flexibilité et accessibilité pour les utilisateurs.

L’avenir des serveurs VPN virtuels est prometteur mais incertain, car les réglementations gouvernementales peuvent également influencer la manière dont ces serveurs sont utilisés et régulés.

En conclusion, les serveurs VPN virtuels sont une partie non-négligeable du paysage de la cybersécurité. Ils offrent des possibilités intéressantes et particulièrement évolutives.

Brave devient amnésique.

Brave devient amnésique.

Brave renforce sa protection contre le suivi en ligne

Le navigateur Brave, spécialisé dans la protection de la vie privée des utilisateurs, a lancé une nouvelle fonctionnalité appelée « Forgetful » que l’on pourrait traduire par « Navigation par l’oubli » ou encore « Navigation Amnésique ».

Cette mise à jour significative renforce considérablement la lutte contre le suivi en ligne, offrant aux utilisateurs un contrôle encore plus grand sur leur empreinte numérique

La navigation par l’oubli : une nouvelle arme contre le pistage

Cette fonctionnalité, disponible à partir de la version desktop 1.53 et Android 1.54. Elle permet aux utilisateurs de Brave de supprimer automatiquement les cookies et autres stockages lors de la fermeture d’un site.

Bien que les navigateurs s’améliorent pour protéger contre le suivi par des tiers, ils restent généralement peu efficaces contre l’identification non-désirée.

Comment fonctionne la navigation la navigation par l’oubli de Brave ?

C’est très simple, les utilisateurs peuvent indiquer qu’ils souhaitent être oubliés lorsqu’un site est fermé. Lorsque cette option est activée, Brave efface le stockage de la première partie pour le site quelques secondes après la fermeture de tous les onglets pour ce site. La navigation amnésique efface à la fois les valeurs explicitement stockées (cookies, localStorage, ou indexedDB) et les valeurs stockées indirectement (cache HTTP ou cache DNS).

Comment activer la navigation par l’oubli ?

Les utilisateurs peuvent activer la navigation amnésique de deux manières. Pour un site spécifique, il suffit de se rendre sur le site, de cliquer sur l’icône des boucliers (protection) dans la barre d’URL, de cliquer sur les contrôles avancés, puis de cliquer sur « Oubliez-moi quand je ferme ce site ». Pour faire de la navigation par l’oubli, le paramètre par défaut pour tous les sites, il suffit de se rendre sur brave://settings/shields depuis le navigateur Brave et de cliquer sur « Oubliez-moi quand je ferme un site ».

Nous attendons avec impatience que la version bureau 1.53 soit disponible au téléchargement pour faire nos propres essais.

Navigation par l’oublie vs Navigation privée : Une protection renforcée

À première vue, la navigation Amnésique peut sembler similaire à la navigation privée ou au mode Incognito de certains navigateurs. Cependant, Brave va bien au-delà de ce que ces modes offrent en termes de confidentialité.

La navigation privée standard, bien que pratique, n’efface que l’historique de navigation, certains cookies et les informations de formulaire une fois la session terminée. Les sites web visités pendant une session privée peuvent toujours collecter des informations sur le comportement de l’utilisateur. De plus, les fournisseurs d’accès à Internet peuvent toujours suivre les activités en ligne.

La navigation par l’oubli de Brave efface toutes les formes de stockage de données, y compris les cookies, le stockage local, le cache HTTP et le cache DNS, rendant ainsi le suivi de l’utilisateur beaucoup plus difficile.

Une flexibilité inégalée pour les utilisateurs

L’un des atouts majeurs de la navigation par l’oubli est la possibilité pour les utilisateurs de configurer cette fonctionnalité sur une base choisie. Les internautes peuvent donc choisir de rester connectés sur certains sites tout en utilisant la navigation Amnésique sur d’autres, offrant une flexibilité bien plus grande que la navigation privée standard.

Brave tente de mener la danse en matière de protection de la vie privée

Avec cette mise à jour, Brave continue de se démarquer en matière de protection de la vie privée en ligne. Alors que les autres navigateurs commencent tout juste à prendre des mesures pour limiter le suivi par des tiers, Brave a déjà franchi le pas en s’attaquant à la réidentification non-désirée par les sites visités.

Pour conclure

La navigation par l’oubli est un pas en avant significatif dans la protection de la vie privée en ligne. Il sera intéressant de voir comment cette fonctionnalité va évoluer avec le temps et comment les autres navigateurs vont réagir face à cette avancée. Du reste, il est déjà possible de le faire sur certains navigateurs mais au prix de nombreuses manipulations dans les réglages. Pour le moment, j’attends de voir, Brave a de nombreuses fois été critiqué par le passé pour ses possibles implications avec certaines régies publicitaires et on lui a également reproché d’être une véritable passoire avec le mode Tor intégré.

Qu’est-ce que l’Open Source ?

Qu’est-ce que l’Open Source ?

L’Open Source est un terme que l’on entend souvent lorsqu’il s’agit d’applications et de logiciels. Mais qu’est-ce que cela signifie exactement ? Dans cet article, je vous explique ce qu’est l’Open Source, ses avantages, ses inconvénients, et je vous donne des exemples de projets Open Source.

Qu’est-ce que l’Open Source ?

Réponse courte : L’Open Source se réfère aux logiciels dont le code source est accessible et consultable par tous. Cela ouvre la porte a plus de collaborations et d’améliorations.

Le terme Open Source se dit également code source ouvert, l’open source est souvent le fruit d’un travail collaboratif. Dans le cadre d’une véritable licence de source ouverte, ce type de modèle de développement est communément appelé FOSS, Free and Open Source Software, que l’on pourrait grossièrement traduire par logiciel libre à source ouverte.

Un univers ouvert et varié

Open Source Logo

L’univers de l’Open source, est vaste et couvre un grand nombre de domaines liés aux systèmes d’informations, logiciels bien sûr, mais également les serveurs, certains outils, des solutions de réseaux voir même de sécurité.

Il n’existe pas, à proprement parler, de hiérarchie en matière de qualité entre les outils open source et ceux qui sont propriétaires (à code fermé).

Dans bon nombre de cas, on parle de source disponible, c’est une forme de variante, cela signifie que le code source est, certes consultable, mais n’accorde aucune permission pour modifier ou encore utiliser le code. La raison première est bien sûr liée à la sécurité.

 

Est-ce que Open Source signifie gratuit ?

Absolument pas !

C’est une erreur fréquente, une application Open Source n’est pas obligatoirement gratuite. Il s’agit d’un amalgame fait avec le terme logiciel libre. En effet, il existe des logiciels libres de droit gratuits qui s’appuient sur un code Open Source pour fonctionner.
Pour résumer, le terme Open Source va désigner la méthode de développement tandis que l’expression logiciel libre exprimera d’avantage la philosophie d’un projet.

ProtonVPN est un parfait exemple. C’est une création Open Source de plusieurs chercheurs du CERN et bien qu’étant un VPN sans abonnement payant, il propose également une version gratuite parfaitement fonctionnelle de toutes ses applications.

Illustration : ProtonVPN Open Sourcegratuit

Pour en savoir plus à propos des logiciels libres, une organisation américaine à but non-lucratif, la Free Software Foundation, a pour mission depuis 1985 de promouvoir et de défendre les logiciels libres ainsi que leurs utilisateurs.

 

Comment définir un système à source fermée ?

La plupart des logiciels sont écrits et développés par des entreprises à des fins commerciales. Ce travail représente un investissent important en matériel de pointe et en personnel qualifié. Leurs travaux sont donc maintenus à l’abri des regards et protégés légalement. Le chiffrement est également utilisé pour rendre le code inaccessible.

Bien que de très nombreuses sociétés proposent des solutions pour les systèmes d’informations absolument remarquables, il n’en demeure pas moins vrai que leur utilisation implique de s’en remettre totalement à l’entreprise qui fournit ces programmes.

Dans de très nombreux cas, ces logiciels sont souvent audités de manière indépendante ou un programme de Bug Bounty est mis en place afin d’offrir aux utilisateurs des garanties supplémentaires. A noter qu’une application Open Source peut également être auditée et avoir un programme de primes aux bugs.

Illustration : Plateforme de Bug Bounty France, YesWeHack

 Platefome de Bug Bounty, YesWeHack.

 

Une des meilleures méthodes de développement possible ?

Disons simplement que c’est une approche moins opaque. En effet, si le code d’un logiciel est consultable, il peut être examiné et audité de manière indépendante par toute personne s’estimant assez qualifiée pour le faire.
Le but est de déterminer plusieurs choses, comme la présence d’une porte dérobée permettant des actes de malveillance, certaines vulnérabilités au niveau de la sécurité ou encore un nombre important de bugs. À ce jour, l’Open Source est le seul moyen d’avoir la certitude qu’un logiciel effectue les tâches qu’il est censé faire.

Un code accessible soit relativement fiable même s’il n’est pas audité. En effet, les développeurs n’ont aucune raison d’inclure des lignes de codes malveillantes à la vue de tous.

Malheureusement, il existe un nombre limité de personnes ayant à la fois les compétences et le temps nécessaires pour auditer tous les logiciels accessibles. Ce problème est aggravé par le fait que de nombreux programmes à source ouverte sont extrêmement complexes, contenant plusieurs milliers de lignes de code, de sorte que même s’ils ont été audités, il est tout à fait possible que les informaticiens aient pu manquer un problème.

Illustration : Octocat de la plate-forme Github

Octocat, la mascotte de GitHub, la plate-forme d’hébergement des développeurs qui souhaitent partager leur code.

 

Privilégiez la transparence avec l’Open Source

Dans la mesure du possible, il est recommandé de privilégier les logiciels Open Source connus et reconnus par la communauté informatique. Ces logiciels offrent généralement une plus grande transparence, des mises à jour régulières et une meilleure collaboration entre les développeurs.

Exemples de projets Open Source populaires

Voici quelques exemples de projets Open Source largement utilisés dans divers domaines :

Linux : Un système d’exploitation Open Source qui a révolutionné le monde de l’informatique. Il est utilisé dans de nombreux serveurs, systèmes embarqués et smartphones (Android étant basé sur Linux).

Firefox : Un navigateur Web Open Source développé par la Mozilla Foundation.

LibreOffice : Une suite bureautique Open Source et gratuite qui offre des fonctionnalités similaires à celles de Microsoft Office.

GIMP : Un logiciel de retouche et de création d’images Open Source et gratuit, souvent considéré comme une alternative à Adobe Photoshop.

La cybersécurité n’est pas en reste en ce qui concerne l’Open Source.

Proton : Il s’agit d’une suite complète comprenant un service de mail sécurisé, un cloud chiffré, un calendrier sécurisé, un gestionnaire de mot de passe (version Beta) et un VPN 100% gratuit à vie non limité en données.

ownCloud : Un logiciel Open Source proposant une solution de cloud chiffré pour le stockage et partage de fichiers en ligne.

Olvid : Une application de messagerie chiffrée instantanée.

Private Internet Access : Un VPN sans log devenu Open Source offrant un niveau de transparence et de responsabilité très élevé.

Qu’est-ce qu’un courtier en données ?

Qu’est-ce qu’un courtier en données ?

Les données valent beaucoup d’argent, ça commence à se savoir.

Cependant, peu de personnes comprennent vraiment le marché des données. Cela est dû au fait que la majorité des acteurs de ce secteur sont plutôt discrets et on comprend bien pourquoi. Qu’est-ce qu’un courtier en données ? Découvrir et comprendre.

Qu’est-ce qu’un courtier en données ?

Un courtier en données est une entreprise qui collecte, analyse et revend des informations sur notre façon d’utiliser Internet. Ces données sont récoltées sur les sites Internet que nous visitons, les réseaux sociaux que nous utilisons et aussi et sur les applications gratuites installées sur nos téléphones.
Les courtiers en données, analysent et thématisent toutes ces données et les revendent aux entreprises et aux gouvernements du monde entier à des fins de marketing et d’influence.
Cette collecte massive des données est possible grâce aux conditions d’utilisation de certains services que tout le monde accepte sans jamais les lire.

Qui sont les courtiers en données ?

Cambridge Analytica est sans aucun doute, l’entreprise la plus connue dans ce domaine depuis la controverse de 2018. Mais pourtant, il en existe beaucoup d’autres.
Vous n’avez probablement jamais entendu parler d’Acxiom, CoreLogic et Epsilon. Il y a une raison à cela. Elles préfèrent rester discrètes. Il ne s’agit la que de quelques-unes des plus grandes entreprises qui gagnent de l’argent en collectant, regroupant et vendant les données de la population.

Quelles sont les données qu’ils collectent ?

En collectant les metadonnées des utilisateurs à partir de nombreuses sources différentes, les courtiers en données sont en mesure de dresser un tableau très précis de la vie des personnes. Ils peuvent connaître vos revenus, votre âge, votre genre et votre adresse. Mais certains cherchent à aller encore plus loin, en collectant des données spécifiques, comme la localisation, le comportement d’achat ou les traits psychologiques.

Illustration d'une métadonnée

En combinant toutes ces informations avec votre comportement en ligne, les courtiers peuvent se faire une idée de l’évolution de votre relation, de votre état de santé, de votre recherche d’un nouvel emploi ou de votre intention de déménager dans une autre ville et ainsi prédire certains de vos comportements futurs en terme de consommation.

En connaissant vos intérêts et votre état d’esprit, le ciblage peut se faire de manière très efficace.

Comment les informations sont-elles collectées ?

Les données sont collectées par de nombreuses sources différentes. Les cookies tiers, les réseaux wifi publics et le raclage de sites web sont les plus couramment utilisés pour recueillir des informations. C’est la raison pour laquelle il ne faut jamais accepter tous les cookies.

Si vous acceptez tous les cookies et que vous avez votre profil Facebook sur « public », il y a de fortes chances que les courtiers aient un profil très précis de vous.

Si vous souhaitez connaître la valeur de vos données, l’application mobile Rita vous permet de consulter, de contrôler et de gagner des récompenses à partir de vos données. En moyenne, 197 entreprises ont accès à vos données. Rita vous montre combien et qui y a accès.

Comment les vendent-ils ?

L’un des moyens est le site Web Datarade.ai, une plateforme d’agrégation de courtiers en données, où l’on peut voir les courtiers faire la promotion de leurs ensembles de données clients.

Le manque de transparence manifeste de ce marché entraîne certains problèmes éthiques. Les entreprises connaissent des informations sur vous sans que vous le sachiez. Cela conduit à une forme d’exploitation des individus par les entreprises.

Illustration : Site de Datarade

« Trouvez les bonnes données, sans effort.
Le moyen le plus simple de trouver, comparer et accéder à des produits de données provenant de plus de 500 fournisseurs de données de premier ordre dans le monde entier. »

Des règlementations ont été mises en place

Bien que ces pratiques existent depuis des années maintenant, les régulateurs commencent à agir depuis peu. Le RGPD (Règlement général sur la protection des données), le CCPA (California Consumer Privacy Act) et les réglementations équivalentes ont tous pris des mesures.

Les régulateurs ont exigé plus de transparence et d’application de la validation du consentement et des moyens plus faciles et plus transparents de se retirer. Les procédures restent cependant longues pour les individus. Des solutions de service de suppression de vos informations personnelles des bases de données en ligne commencent à arriver sur le marché. Parmi elles, on peut citer Incogni.

Dans l’absolu, cibler et adapter du contenu en fonction des internautes n’est pas une mauvaise chose si cela améliore l’expérience utilisateur. Par ailleurs, il faut reconnaître que c’est toujours agréable de découvrir des contenus pertinents.

Cependant, les transactions de données devraient être transparentes et centrées uniquement sur l’utilisateur. Nous sommes convaincus que les utilisateurs doivent savoir quelles données sont collectées et avoir le choix de les partager ou non. N’oubliez pas que l’utilisation d’un VPN permet de masquer votre activité en ligne, votre adresse IP et vos données de navigation.

Qu’est-ce qu’un cache de navigateur ?

Qu’est-ce qu’un cache de navigateur ?

Le cache de navigateur est un terme que l’on entend souvent lorsqu’il s’agit de résoudre des problèmes de navigation ou de protéger notre vie privée en ligne. Bien que nous soyons souvent invités à le vider, il est important de comprendre ce qu’est un cache de navigateur et comment il fonctionne. Dans cet article, nous explorerons les bases du cache de navigateur, son rôle dans l’amélioration des performances de navigation, ainsi que les aspects liés à la sécurité et à la confidentialité qu’il convient de prendre en compte.

Qu’est-ce qu’un cache de navigateur ?

Une mémoire cache de navigateur est un espace de stockage dans votre ordinateur qui conserve certaines des données utilisées sur les sites Internet que vous visitez fréquemment. La mise en cache proprement dite consiste à télécharger les données de la page visitée et à les conserver temporairement dans la mémoire cache ( »espace de stockage ») pour une utilisation ultérieure. Tous les navigateurs, Chrome, Firefox, Safari, Edger, Brave, Ur….ont un système de cache.

Que contient le cache du navigateur ?

Pour faire simple, des images, des documents texte, des vidéos, l’historique de navigation, les données du site. Les cookies sont également gardés quelque part. C’est possible en stockant localement des éléments tels que des images, des fichiers CSS et JavaScript, afin de ne pas avoir à les télécharger à chaque visite.

N’oubliez pas que le cache du navigateur n’est pas la même chose que les cookies. Ils sont souvent confondus. Les deux fonctionnent de manière similaire, mais ils répondent à des besoins différents. Les cookies sont des informations vous concernant, tandis que les informations du cache concernent les sites que vous visitez.

La mise en cache du navigateur s’assure de se souvenir des informations dont vous aurez probablement besoin si vous y retournez.

Pourquoi a t’on besoin d’un cache de navigateur ?

Parce que la prochaine fois que vous visiterez un site que vous avez déjà visité, il se chargera plus rapidement car il se souviendra d’une partie des données et n’aura pas besoin de les télécharger à nouveau.

Imaginons que vous naviguez sur le web à l’aide d’un smartphone dont le forfait de données mobiles est limité. Vous allez sur Facebook ou autre, et leurs bannières se chargent plus rapidement et en premier parce qu’elles ont été mises en cache. Cela signifie que vous n’avez pas utilisé de données pour télécharger des informations qui se trouvaient déjà sur votre appareil. Vous avez donc économisé des données mobiles et vous avez rendu la navigation plus rapide.

Comment fonctionne le cache d’un navigateur et à quoi sert-il ?

Vous découvrez une page internet avec votre navigateur pour la première fois, un série d’échanges entre le site et votre browser s’opère.

  1. Votre navigateur demande à copier certaines données
  2. Le site demande alors au navigateur de faire de la place sur votre ordinateur (de créer un dossier cache)
  3. Votre navigateur copie les éléments constitutifs du site (images, vidéos, fichiers HTML, JavaScript) et télécharge ces données pour les mettre en cache.
  4. La prochaine fois que vous allez sur ce site, votre navigateur charge les données stockées au lieu de les télécharger de nouveau. C’est la raison pour laquelle, le site se charge plus rapidement.

Illustration : Boussole de navigation

Navigation masquée et cache

La navigation masquée, également connue sous le nom de navigation privée ou incognito mode, est une fonctionnalité disponible chez la plupart des navigateurs actuels. Elle permet de naviguer sur Internet sans laisser de traces de votre activité sur votre ordinateur, ce qui peut être utile dans de nombreuses situations, notamment pour protéger votre vie privée.

Lorsque vous utilisez la navigation masquée, le navigateur fonctionne différemment par rapport à une session de navigation normale. Dans ce mode, le cache est toujours utilisé pour améliorer les performances de navigation, mais il est temporaire et isolé de la session de navigation régulière. Cela signifie que lorsque vous fermez la fenêtre de navigation privée, tous les éléments du cache associés à cette session sont supprimés de votre ordinateur. Ainsi, aucune trace de votre activité n’est conservée localement.

Il est important de noter que la navigation masquée ne vous rend pas anonyme en ligne. Votre adresse IP, qui peut être utilisée pour identifier votre emplacement et votre fournisseur d’accès à internet, est toujours visible par les sites web que vous visitez et peut être enregistrée par ceux-ci.

La navigation masquée ne protège pas contre les logiciels malveillants, les attaques de phishing, ou d’autres menaces en ligne. Nous recommandons de combiner cette fonctionnalité avec d’autres mesures de sécurité, telles que l’utilisation d’un VPN gratuit et de logiciels antivirus à jour.

Qui décide si quelque chose doit être mis en cache ou non ?

Tout simplement les personnes qui gèrent le site web, les développeurs et les administrateurs. Ils établissent un ensemble de règles, appelé politique de mise en cache, qui indique au navigateur visiteur comment se comporter.

La politique de mise en cache est comme un règlement intérieur pour votre navigateur. Elle est principalement exercée par le biais d’un en-tête appelé Cache-control. Elle administre toute action liée au cache, validation des données, comportement et expiration.

Cette politique de mise en cache donne une valeur unique aux données qui sont mises en cache.

Par exemple, une information mise en cache se voit attribuer une date d’expiration (fraiche ou périmée). Les données périmées sont supprimées et les plus récentes sont téléchargées lorsque vous visitez à nouveau une page.

Les inconvénients de la mise en cache

Les inconvénients de la mise en cache sont très peu nombreux :

  • Parfois, certaines parties de la dernière version de la page ne se chargent pas.
  • Le risque le plus important est que quelqu’un puisse installer un malware sur votre matériel.

La mise en cache est-elle sûre ?

En général, oui, mais certaines informations mises en cache (comme les images) peuvent représenter un risque de fuite de données personnelles pour des tiers. Étant donné que votre navigateur télécharge des données provenant d’Internet et les stocke sur votre ordinateur, vous avez besoin d’un antivirus qui vérifie ces informations.

Pourquoi faut-il régulièrement vider son cache de navigateur ?

 

Il est recommandé de vider le cache de votre navigateur de temps en temps pour plusieurs raisons :

Confidentialité

Le cache stocke des éléments de sites que vous avez visités, ce qui peut inclure des informations personnelles et sensibles. En vidant régulièrement votre cache, vous réduisez les risques associés au stockage de ces informations sur votre ordinateur, et vous limitez la possibilité pour des personnes non-autorisées d’accéder à ces données si votre appareil venait à être compromis.

Sécurité

Les fichiers stockés dans le cache peuvent être ciblés par des attaquants pour exploiter des vulnérabilités ou installer des logiciels malveillants sur votre ordinateur. Vider votre cache peut aider à prévenir ce type d’attaques en supprimant les fichiers potentiellement compromis.

Problèmes de compatibilité

Les sites web sont constamment mis à jour, et les anciennes versions des fichiers stockés dans le cache peuvent parfois causer des problèmes de compatibilité ou d’affichage des pages. Vider le cache peut résoudre ces problèmes en forçant le navigateur à télécharger les dernières versions des fichiers du site.

Espace disque

Le cache peut occuper un espace considérable sur votre disque dur, en particulier si vous visitez fréquemment des sites web riches en contenu multimédia. Vider le cache libère de l’espace disque, ce qui peut améliorer les performances de votre ordinateur.

Résolution de problèmes

Si vous rencontrez des problèmes avec un site web, tels que des erreurs de chargement, des images manquantes ou des fonctionnalités ne fonctionnant pas correctement, vider le cache peut parfois résoudre ces problèmes en supprimant les fichiers corrompus ou obsolètes.

Pour rappel : Comment vider la mémoire cache d’un navigateur ?

Voici une liste des principaux navigateurs et la manière de vider leur mémoire cache. Evidement il faut lancer le navigateur que vous utilisez.

Google Chrome

Logo de google Chrome

  • En haut à droite, il y a trois points à côté de votre icône d’utilisateur, cliquez sur les points.
    Sélectionnez  »Plus d’outils ».
  • Cliquez sur  »Effacer les données de navigation… ».
  • Choisissez la plage de temps souhaitée.
  • Cochez les cases « Cookies et autres données du site » et « Images et fichiers en cache ».
  • Cliquez sur  »Effacer les données ».

Safari

Logo de Safari

  • Sélectionnez  »Préférences… » dans le menu Safari situé dans le coin supérieur gauche.
  • Cliquez sur l’onglet  »Avancé » et cochez la case « Afficher le menu Développer dans la barre de menus ».
  • Un onglet  »Développer » apparaît sur votre barre de menu – cliquez dessus.
  • Sélectionnez  »Vider les caches ». Effacez également votre historique en cliquant sur l’onglet  »Historique », puis sur  »Effacer l’historique… ».

Microsoft Edge

Logo de microsoft Edge

  • Cliquez sur le menu dans le coin supérieur droit (trois points horizontaux) et sélectionnez  »Paramètres », puis  »Confidentialité et services ».
  • Cliquez sur l’option  »Effacer les données du navigateur ; » ; sous celle-ci, cliquez sur  »Choisir ce qu’il faut effacer. »
  • Cliquez sur  »Images et fichiers en cache » ainsi que sur  »Cookies et autres données de site » et cliquez sur  »Effacer ».

Mozilla Firefox

Nouveau logo du navigateur de Mozilla, Firefox

  • Cliquez sur le menu de l’icône hamburger dans le coin supérieur droit et sélectionnez  »Firefox », puis  »Préférences ».
  • Sélectionnez le panneau  »Confidentialité et sécurité ».
  • Décochez  »Cookies et données du site », puis cochez  »Avec le contenu Web en cache » et cliquez sur le bouton  »Effacer ».
  • Vous pouvez fermer toutes les cases puisque tout est enregistré automatiquement.

Pour conclure

La mise en cache des fichiers Internet temporaires est un procédé utile. Elle améliore les performances et accélère la navigation sur Internet. Bien que sans danger apparent, l’utilisation d’un antivirus, mais pas seulement est fortement recommandée.

Pin It on Pinterest